Le fort potentiel de recherche de l’UCAD souffre du déficit d’équipements lourds. C’est pourquoi, les enseignants-chercheurs de l’université profitent des plateaux techniques des pays développés pour travailler sur les problématiques et standards actuels.
Les statistiques au niveau national montrent que le taux de chômage des jeunes s’accentue corrélativement au niveau d’études. Il y aurait donc plus de chômeurs après le baccalauréat qu’au niveau secondaire !
L’UCAD a réorganisé son dispositif de recherche en créant sept (7) Ecoles Doctorale avec des formations ciblées. Elle explore ainsi la transdisciplinarité, et à défaut la pluridisciplinarité. Des règles strictes sont adoptées pour l’admission, la formation et la soutenance de la thèse.
L’université doit préserver sa mission d’université publique ouverte à toutes les catégories sociales tout en garantissant la qualité de l’enseignement et de l’encadrement.